De l'utilité sociale des Autorités Organisatrices de la Distribution Publique d'énergie dans la Transition Energétique
L’abandon progressif des énergies fossiles suppose un transfert de consommation vers les réseaux électriques, gaziers et chaleur à partir d’énergies renouvelables. Au regard des urgences calendaires, toutes les technologies devront être explorées et coordonnées dans une logique d’économie de moyens et d’efficacité. Confirmées dans le processus de territorialisation de la politique de Transition Energétique, les Autorités Organisatrices de la Distribution publique d'Energie sont à l'interface entre le local et le national, entre l'usager et le consommateur-producteur. Sur un socle de valeurs partagées et stabilisées entre l’Etat et les collectivités territoriales, entre l’initiative publique et l’initiative privée, elles peuvent faire correspondre aux obligations légales d'organiser la Transition Energétique, l'obligation morale de leur faire produire les conséquences les plus salutaires d'un point de vue social.
Thèmes du débat visés :
1- Quel équilibre entre recours à la sobriété énergétique et recours aux technologies nouvelles ?
4- Quel accompagnement des ménages, entreprises, salariés et territoires pour une transition juste ?
5- Quel équilibre entre les différents outils de politique publique dans la lutte contre le changement climatique ?
6-Comment assurer une meilleure intégration des efforts d'atténuation dans les politiques territoriales ?
7- Quelle répartition par secteur (bâtiment, transport, agriculture, déchet, industrie, production et transformation d’énergie) de l’effort supplémentaire pour le rehaussement de l’objectif climatique à l’horizon 2030 ?
9- Quelles évolutions pour le secteur du bâtiment ?
Voir le cahier d'acteur :
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